Dans les aéroports le temps change de consistance. Zone de passage. Entre-deux. Les uns derrière les autres nous franchissons patiemment les étapes jusqu’au moment où nous nous retrouvons dans l’avion.

Niamey–Dakar. Nous sommes surpris d’avoir un peu froid en débarquant. Nuit. Nous sommes passés de 45 degrés de Niamey au 20 degrés de Dakar. Amadou Sene, le directeur-adjoint de l’Institut Culturel Léopold Sedar Senghor nous accueille. Il nous conduit dans un hôtel luxueux. Très grande chambre. Nous n’y passerons qu’une nuit. Demain, 21 avril, nous partons pour Saint-Louis.

Niamey-Dakar : très fort contraste. Dakar a l’allure d’une ville française : immeubles, larges voies, signalisation…