Le petit marché est tout près du Centre culturel franco-nigérien. Entre midi et treize heures nous déambulons dans les rues. Des centaines d’hommes à genoux, prosternés. C’est vendredi, jour de prière publique. Ce quartier de Niamey pullule de marchands et de marchandises : fruits, légumes, ignames géantes, produits divers de la mère Afrique. Niamey est musulmane. En témoignent les vêtements des hommes et des femmes.

Le soir, Alfred Dogbé, auteur et compagnon de la tournée 2004 m’emmène boire un whisky dans un restaurant où il y a un billard. Voici, dit-il, le billard de Kouam Tawa. C’est le billard qui a rassuré Kouam, me dit Alfred. Il s’est exclamé : « Il n’est pas totalement interdit de s’amuser dans cette ville. »

Réunion des actrices et acteurs qui vont jouer et chanter avec nous.

Traduction de phrases en germa. Belle ambiance.

Le rire de Adama Akili. (Adama a fait la tournée avec nous en 2004).

Le jus de gingembre du CCFN est excellent. Il vous réjouit encore plus les papilles mélangé à du bissap.