Tard le soir. Nous buvons un pot. Nous sommes quatre dont Jean-François Peyret. Ambiance agréable. Un bel endroit dans cette ville d’Avignon, un de plus. J’aime le nom de cette place : Corps Saints. Ce serait un titre magnifique pour la pièce que j’imagine ces jours-ci…  Jean-François Peyret est détendu. Nous parlons de la Chartreuse et du spectacle Le cas de Sophie K qu’il vient d’y monter et d’y montrer. Spectacle excitant. Subtil. Beau succès. Il plaisante : « Cette fois, ils ont tous aimé ce que j’ai fait, c’est nouveau. Et bizarre. Je dois mon succès aux nudistes belges, moi je suis plutôt textile français. »