Avril. Paris. Cinéma. Le cauchemar de Darwin. Pour un cauchemar c’est un cauchemar. Le film est terrible. Tous ces corps mutilés, cette mort à l’œuvre… Si je ne masque pas mon œil droit je ne vois rien.
Je sors bien cassé de ce cinéma rue Rambuteau, juste devant Beaubourg.
En avril et mai pour écrire et pour regarder la télévision, je mets un bandeau sur mon œil droit. J’ai l’air d’un corsaire de salon.